TRANSFUSIONS SANGUINES, GREFFES D'ORGANES DES MORTS.....
SORCIÈRES REINES
FAMILLES ROYALES CANNIBALES, et encore de nos jours dans leurs confréries
DRUIDISME ET REINES SORCIÈRES, CANNIBALISME ROYAL et chez les bourgeois de ce monde
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)
Par FIONA MACRAE
Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011
Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.
Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.
L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.
Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.
Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.
Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.
De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.
Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »
« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.
« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.
« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.
Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.
L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.
Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.
« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.
« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.
« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.
« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.
« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »
Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.
Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.
Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.
Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »
« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.
« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.
« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »
La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.
Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).
Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.
Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.
« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.
Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.
Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.
Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.
Source: dailymail
=================================
=========================
Blog en développements
Pour accéder à d'autres blogs de Viny Eden, cliquez ci-bas
par Viny Eden
mon e-mail est soleilpourtous@hotmail.com
Leur retour triomphal aux nobles valeurs du cannibalisme : clergé, noblesse, bourgeoisie et université
L’HEMOPHAGIE
Le cannibalisme du sang (hémophagie) fut de tous les temps et de tous les lieux.
Les prêtres des Mochicas du Pérou (200 av. J.-C. à 700 apr. J.-C. environ) pratiquaient des sacrifices humains : ils égorgeaient les victimes, collectaient leur sang dans des bols et le buvaient.
Dans la Rome impériale, il arrivait que des spectateurs se précipitassent dans l'arène pour boire le sang des gladiateurs morts ; ce sang était censé guérir les épileptiques et porter bonheur si l’on y trempait les cheveux.
Sous la Révolution française le sang des aristocrates guillotinés fut parfois offert aux pauvres comme boisson reconstituante et il est attesté que des enragés dévorèrent le foie de leurs victimes lors des massacres de septembre 1792.
En mars 1883, Alferd Packer, accusé d'avoir consommé la chair de ses cinq camarades dans les montagnes rocheuses du Colorado où leur expédition s'était perdue, fut condamné à la peine de mort pour cannibalisme. Sa sentence fut commuée en 40 ans de prison par la Cour suprême des États-Unis d'Amérique en 1886. Packer devint, paraît-il, végétarien et s'éteignit en prison le 24 avril 1907.
« Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! » Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde.
Le cannibalisme serait l'inévitable conséquence de la misère économique et physiologique dans laquelle sont plongées beaucoup de populations et aussi et surtout les conséquences des rituels religieux des classes bourgeoises, rituels dirigés par des sorciers/prêtres, des druides conseillers des rois et des reines, et .....
CITATIONS
Les habitants de la Terre de Feu ont été soupçonnés avec raison de cannibalisme ; ils sont dans l'usage de tuer leurs plus vieilles femmes, pour les dévorer, lorsqu'ils craignent de manquer de vivres. (François de Lacroix 1582-1644)
Un cannibale est un homme qui aime son prochain avec de la sauce. (Jean Rigaux 1909-1991)
LE CANNIBALISME EST UN VICE DES CLASSES BOURGEOISES..... Une connaissance plus approfondie des populations dites sauvages a prouvé qu'elles ont d'autres ressources que la chasse, la pêche et la cueillette. Presque toutes pratiquent l'horticulture. Les plus cannibales d'entre elles élèvent des animaux domestiques comme le porc et la chèvre. Si le cannibalisme provenait de la rareté des subsistances, il devrait être au minimum là où abondent les fruits spontanés du sol et au maximum dans les régions polaires, où l'homme ne vit que des produits de sa chasse et de sa pêche. Or le contraire est vrai. Les Eskimo sont à peu près étrangers au cannibalisme, qui est extrêmement développé dans les régions forestières de l'Afrique et de l'Amérique, où foisonnent le gibier et les fruits.
Les Dirigeants Internationaux ont toutes les caractéristiques des SOCIOPATHES
''LE CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS
: Mt: 26/26-29
26 | 26 | Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant: "Prenez, mangez, ceci est mon corps." | |||||||||||||||||||||||||||||||||
26 | 27 | Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant: "Buvez-en tous; | |||||||||||||||||||||||||||||||||
26 | 28 | car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. | |||||||||||||||||||||||||||||||||
26 | 29 | Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père."
|
SOCIOPATHES royaux :
--- Ils n'ont aucune conscience
--- Ils n'ont aucun remord
--- Ils sont aspergers car INSENSIBLES aux humains
--- Ils sont pires que les autistes
--- Ils sont dysphasiques (déconnecté de la réalité qui est NOUS
--- ..............
Il faut vraiment être malades pour vouloir s'élever au-dessus des autres et non AVEC les autres
Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés
.
Attention aux âmes sensibles, ne regardez pas cette photo où la reine montre un regard diabolique
Le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?
Voici des photos très révélatrices .... jugez-en par vous-mêmes .....
Elizabeth 1 est la neuvième des dix enfants et quatrième fille de Claude Bowes-Lyon, alors lord Glamis, puis 14e comte de Strathmore et Kinghorne à partir de 1904, et de son épouse, lady Cecilia Nina Cavendish-Bentinck. Cette dernière est une descendante des rois Robert Ier d'Écosse et Henri VII d'Angleterre.
Elizabeth Bowes-Lyon est également une descendante directe, par son arrière-grand-mère paternelle Henrietta Mildred Hodgson (v. 1805–1891), de Mary Warner, arrière-petite-fille de Nicolas Martiau (1591 - 1657) - un huguenot rétois ayant fui la France - la grand-tante paternelle du premier président américain George Washington1
Est-ce la reine grand-mère, Mary? .... car ce matriarcat mafieux britanno/germano/Italo/Espano/Franco.... semble dirigé par les plus Anciens qui supervisent les jeunes rois et reines et ce jusqu'à la mort des Anciens tout comme les Druides le faisaient
Le guerrier mange le vaincu
Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).
L'exocannibalisme est le fait de manger réellement ou symboliquement la chair d'un ennemi ; il exprime la férocité, la revanche et l’appropriation des qualités guerrières de l’adversaire : la bravoure et la force notamment. Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.
Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »
Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »
Les rites de la chair
Le Point - Publié le 12/05/2000 à 18:25 - Modifié le 16/01/2007 à 18:25
Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés. »
« Ainsi fut sauvé Zeus... »
Loin d'être l'apanage de quelques rares assassins hors normes - comme le Japonais Issei Sagawa qui, à Paris, en 1981, eut, pour sa petite amie néerlandaise, une passion littéralement dévorante, ou, pis, comme les Américains Ottis Tool et Henry Lee Lucas, qui, chacun de leur côté puis en couple, tuèrent de 160 à 180 personnes, dont ils goûtèrent la chair dans les années 70, ou encore comme Andreï Tchikatilo, le « boucher de Rostov » qui, avant d'être arrêté en 1990, avait tué et ingéré au moins 52 victimes -, l'anthropophagie fait partie intégrante de l'histoire de l'humanité.
C'est si vrai que, dans de multiples sociétés, les mythes de la création font peu ou prou référence à la transgression de nombreux tabous dont, en premier lieu, celui qui frappe l'anthropophagie. Exemple donné par le préhistorien Daniel Frimigacci (voir « L'odyssée de l'espèce », Le Point n° 1377) : « Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! »
Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde. A la naissance de son sixième bébé, Rhéa prit une pierre, l'enveloppa de langes et la donna à Cronos qui l'avala sans se douter du subterfuge. « Ainsi fut sauvé Zeus, le futur roi des dieux », constate Jacques Lacarrière dans « Au coeur des mythologies » (3).
Quelque 800 os humains
Du mythe à la pratique, il n'y a qu'un pas que nos ancêtres les hommes de Neandertal et de Cro-Magnon ont, apparemment, franchi. Depuis la fin des années 70, la précision des fouilles comme le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?).
Les artistes de Lascaux et de la grotte Chauvet ne furent pas en reste. Ils ont laissé derrière eux quantité d'ossements de Cro-Magnon ayant subi les mêmes outrages que ceux qu'infligeait Neandertal à Neandertal. Ces hommes du paléolithique perpétuaient ainsi la tradition déjà ancienne du repas cannibale inaugurée par Homo erectus, beaucoup plus primitif, qui vivait à Tautavel, dans le sud de la France, trois cent mille ans avant eux.
Et pourtant, à l'époque, les néandertaliens furent les premiers humains à enterrer leurs morts. Mais peut-être ne considéraient-ils comme véritablement humains que les seuls membres de leur tribu... Après tout, cela se passait ainsi il n'y a pas si longtemps dans de nombreuses sociétés traditionnelles et en Europe au temps de Christophe Colomb, comme en témoigne la controverse de Valladolid sur l'humanité des Indiens Caraïbes. Quoi qu'il en soit, le plus naturellement du monde, sans que la plupart du temps entre dans cette pratique une quelconque perversion, l'Homme avec un grand H a mangé de l'homme avec un h minuscule, démontre Martin Monestier en insatiable comptable des bizarreries de notre étrange espèce.
Le guerrier mange le vaincu
L'Homme mange de l'homme par nécessité, comme sur le radeau de la « Méduse » en 1816, lors de la grande sécheresse de 1922 en Russie, durant le siège de Leningrad en 1941 ou, en 1972, après un accident d'avion dans la cordillère des Andes. Les trente survivants du crash, dont une équipe de rugby uruguayenne, survécurent ainsi soixante-dix jours durant par - 40 °C avant d'être secourus...
Cette anthropophagie de survie, même si elle soulève des haut-le-coeur, est comprise et absoute par l'opinion publique, les tribunaux et les Eglises. Les marins naufragés de la « Felicia » en 1875, de la « Victoria » en 1884, du « Britannia » en 1885, qui ont, comme dans la chanson, mangé leur mousse, ont par la suite été relaxés par les tribunaux, constate Martin Monestier.
Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).
Lorsque les Européens, dans le sillage des Vasco de Gama et autres Colomb, se lancèrent à la découverte mercantile du monde dans le bruit des armures, le feu des mousquets et la fureur des massacres, ils découvrirent avec stupeur que, aux Amériques, en Afrique et en Océanie, le cannibalisme, dont on ne connaissait en Occident que les versions mythiques et de survie, était couramment pratiqué au grand jour, sans honte ni perversité excessive. Le terme « canibal », francisé en « cannibale », a d'ailleurs été créé au XVIe siècle par les explorateurs espagnols à partir du mot « caribal » qui, dans la langue des habitants des Caraïbes, signifie « hardi », et non pas mangeur de chair humaine.
Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.
Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »
Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »
Le festin des nobles
A Wallis-et-Futuna, jusqu'il y a peu, l'Homme mangeait l'homme pour consolider l'institution sociale. Les humains y étaient classés en deux catégories : les nobles, qui, comme chacun sait, sont habités par les dieux, et les autres... Pour nourrir ces dieux intérieurs, lors des fêtes de la récolte ou pour l'intronisation des chefs, il fallait manger de la chair humaine, en l'occurrence soit des prisonniers de guerre, soit les « autres ». Par exemple des voisins imprudemment égarés sur le territoire de la tribu, et même des morts, ou les « non-nobles » de son propre groupe. Pour éviter les abus, germes des pénuries futures, les chefs devaient parfois aller jusqu'à fermer la chasse à l'homme, comme ils le faisaient pour la cueillette des fruits.
La question du philosophe des Lumières reste d'actualité, affirme Martin Monestier, qui précise : « A l'heure actuelle, on assiste partout à une résurgence du cannibalisme sous toutes ses formes. Principalement rituel en Afrique et en Amérique du Sud, pathologique et criminel en Amérique du Nord, criminel et de subsistance en Europe de l'Est et en Asie. » Le pervers et sadique Hannibal Lecter est en bonne compagnie..... Et surtout toutes ces Sectes, ces Clubs, ces Clans, ces CONFRÉRIES et autres SOCIÉTÉS SECRÈTES et qui opèrent encore des rituels ancestraux pour s'obliger au silence et.....
VAMPIRISME DES CLASSES BOURGEOISES DÉVIANTES ET SANS MORALE
En 1901, dans une thèse soutenue à la faculté de médecine de Lyon, le futur Dr Alexis Epaulard utilisa pour la première fois le terme de "vampire", non pas pour désigner un buveur de sang mais un nécrophile : Victor Ardisson, le "vampire" de Muy.
On a longtemps employé le terme de « vampire » pour des malades se livrant à des actes de nécrophilie, de nécrosadisme voir de nécrophagie, bien que, pour des raisons évidentes, il n’y eut pas, dans ces cas, de succion de sang. À l’inverse, certains individus, tels que les vampires de Hanovre, de Düsseldorf, de Londres et de Nuremberg, ont une fascination réelle pour le sang et non la mort
===========================================
==============================================
Cannibalisme
De nombreux rapports écrits et témoignages rassemblés par la section australienne pour les crimes de guerre du tribunal de Tokyo, examinés par le procureur William Webb (futur juge en chef), montrent que des Japonais ont commis dans plusieurs parties de l’Asie ou du Pacifique des actes de cannibalisme contre des prisonniers de guerre alliés ou des populations civiles. Dans certains cas, ces actes furent le résultat de l’accroissement des attaques alliées sur les lignes de ravitaillement japonaises et des décès et des maladies frappant les soldats japonais en raison de la famine qui s’ensuivit. Toutefois, selon l’historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menée par des compagnies entières agissant sous le commandement d’officiers10. »
Dans certains cas, la chair était prélevée sur des personnes en vie : un prisonnier indien, le Lance Naik Hatam Ali (qui devait plus tard devenir citoyen pakistanais) témoigna qu’en Nouvelle-Guinée :
« Les Japonais commencèrent à sélectionner les prisonniers et chaque jour un prisonnier était tué et mangé par les soldats. J’ai vu cela personnellement et près de 100 prisonniers furent tués et mangés par les soldats à cet endroit. Ceux d’entre nous qui restaient furent emmenés à un autre endroit situé à 80 km où dix prisonniers moururent de maladie. À cet endroit, les Japonais recommencèrent à sélectionner des prisonniers en vue de les manger. Ceux qui étaient sélectionnés étaient amenés dans une hutte où leur chair était prélevée sur leurs corps alors qu’ils étaient encore en vie. Ils étaient ensuite jetés dans un fossé où ils finissaient par mourir »11
L'un des officiers connus le plus élevé en grade à avoir été convaincu de cannibalisme fut le Lt. Général Yoshio Tachibana qui, avec onze autres soldats japonais fut jugé pour l’exécution d’aviateurs de l’U.S. Navy et le cannibalisme perpétré sur au moins un d’entre eux en août 1944 sur l’île de Chichi Jima dans l'archipel d'Ogasawara. Ils furent décapités sur les ordres de Tachibana. Comme les lois militaires et internationales ne contenaient pas de dispositions spécifiques au cannibalisme, ils furent jugés pour meurtre et « refus d'une sépulture honorable ». Tachibana fut condamné à mort12.
L'endocannibalisme, pratique funéraire, est le fait d’ingérer les restes d’un parent décédé.
Certains réduisent en poudre les ossements d'un défunt auxquels ils ajoutent de la bière de manioc, et font boire cette mixture aux proches parents. Les ossements sont censés contenir les éléments vitaux de l'esprit de la personne morte qui sont ainsi transmis aux consommateurs.
D’autres ingèrent seulement le cerveau et/ou le cœur, sièges supposés de l’âme du disparu.
Il est avéré que certaines Chinoises mangent leur embryon ou leur foetus après une fausse couche. Il n’est pas exclu que cette pratique soit plus répandue dans le monde qu’on n’ose le croire.
Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."
Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."
CROISADES
Des expéditions très sanglantes
Une fois les villes conquises, les troupes chrétiennes et leurs chefs, se livraient à des atrocités qui faisaient frémir les chroniqueurs chrétiens qui en avaient été les témoins, certains se plaisaient à pratiquer le cannibalisme. Ainsi, après la mise à sac de la Palestine, Raoul de Caen, chroniqueur de la Première Croisade écrivait : « A Maarat, les nôtres firent cuire les païens adultes dans des marmites et embrochèrent les enfants pour les manger rôtis. » Le chroniquer arabe Usana ibn Munqidh, qui avait connu dans sa chair les atrocités de la deuxième te troisième croisade, notait dans ses mémoires : « Quand on nous eu informés sur les frany (nom donné par les Arabes aux Croisés), nous vîmes en eux des bêtes nuisibles qui ont une supériorité dans la valeur et l'ardeur au combat mais rien d'autre, tout comme les animaux ont une supériorité dans la force et l'agressivité. » Et cet autre : « Les frany passèrent au fil du couteau la population de la Cité sainte et tuèrent des Musulmans pendant une semaine. Dans la mosquée Al-Aqsa, ils massacrèrent 60 000 personnes. Ils réunirent et enfermèrent les Juifs dans leur synagogue et les y brûlèrent vifs. » Même leurs coreligionnaires n'échappèrent pas à la fureur sacrée des troupes européennes : tous les prêtres et pratiquants des rites orientaux résidant à Jérusalem furent expulsés de la ville et beaucoup assassinés. Plusieurs prêtres coptes qui savaient où se trouvait cachée « la Sainte croix du Christ » furent férocement torturés afin qu'ils livrent leur secret.
Durant la Seconde Guerre mondiale les soldats japonais commirent des actes de cannibalisme à l'encontre des prisonniers et des populations civiles dans les territoires occupés.
Ces actes ont pu être motivés par la famine dans certains cas ; mais selon l'historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menées par des escouades entières et sous le commandement d'officiers ».
Les plus hauts gradés connus ayant pratiqué le cannibalisme sont le lieutenant-général Yoshio Tachibana (qui, avec 11 membres de son personnel, a été jugé pour avoir fait manger un aviateur américain en août 1944 à Chichi Jima) et le vice-amiral Mori (pour avoir mangé un prisonnier lors d'une réception en février 1945).
Selon le témoignage de plusieurs prisonniers, tel que celui du soldat indien Hatam Ali, les victimes étaient parfois dépecées vivantes.
On a rapporté que, durant la guerre du Vietnam (1959-1975), des soldats vietcongs ingéraient le foie de leurs ennemis pour s’approprier leur force.
La presse a publié des photos d’enfants-soldats laotiens exhibant les foies humains qu’ils allaient consommer.
Dans Stèles rouges, l'écrivain Zheng Yi raconte comment, au cours d'une enquête dans la province de Guangxi, il découvrit de nombreux cas de cannibalisme qui eurent lieu durant la révolution culturelle : "Aussi parle-t-on rarement de ce qui 6 arriva en Chine en 1968, en pleine révolution culturelle. Des étudiants du Guangxi ont mangé leur professeur, et le cannibalisme politique est devenu une expression admissible de la cruauté révolutionnaire. Des hommes étaient découpés vivants, on organisait des festins de chair humaine rituels auxquels chaque camarade se devait de prendre part.”
confréries
Le 27 juillet 2009, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL), l'ancien président libérien Charles Taylor, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité et interrogé à propos de la déposition d'un témoin de l'accusation racontant qu'il avait mangé de la chair humaine avec Charles Taylor lors d'une cérémonie de la société secrète Poro dont l'accusé est aujourd'hui encore le chef, déclara qu'il ne s'était jamais livré au cannibalisme au Liberia, et qu'il n'avait "jamais ordonné à aucun combattant de manger qui que ce soit", en précisant qu'il "ne contestait pas qu'il y ait des cannibales dans certaines parties du Liberia".
=====================================================
L’origine des maladies à prions pourrait bien être le cannibalisme
Caducee.net, le 11/4/2003
PUB
D’après une étude épidémio-génétique réalisée à la fois sur les populations cannibales de Papouasie-Nouvelle Guinée et sur différentes populations du globe, il apparaît exister de nombreuses évidences anthropologiques allant dans le sens d’une origine préhistorique des maladies à Prions transmissibles à l’homme et véhiculées par les pratiques cannibales courantes avant notre ère.
Le polymorphisme du gène PRNP, codant pour la protéine prion humaine, et notamment une forme mutée de ce gène (PRNP129), confère à l’état hétérozygote une relative résistance aux maladies à prions (sélection compensatoire).
L’équipe de John Collinge (University College Queen Square, Londres) a étudié parmi une population de femmes de Papouasie-Nouvelle-Guinée (Les Fores) pratiquant le cannibalisme, le polymorphisme du gène PRNP. Elle s’est aperçue que 23 des 30 femmes étudiées étaient porteuses à l’état hétérozygote de la mutation M129V. Il a été montré que cette mutation confère par ailleurs une résistance à la maladie de Creutzfeld-Jakob (MCJ), une encéphalopathie spongiforme semblable au Kuru, la maladie observée parmi cette population.
La mutation M129V (ou bien E219K) a été retrouvée par les chercheurs sur l’ensemble du globe, et l’analyse des régions d’ADN entourant ces mutations a révélé que le polymorphisme du gène prion remontait probablement à plus de 500000 ans.
D’après les chercheurs, le polymorphisme du gène PRNP remonterait à des périodes préhistoriques et la fréquence de son apparition à travers le monde plaiderait en faveur d’une pratique courante du cannibalisme avant notre ère.
Source: Science 11 avril 2003;www.sciencexpress.org/10 april 2003/page 1/ 10.1126/science.1083320
=====================================================
70 % DES TUEURS EN SÉRIES SONT HOMOSEXUELS
GAIS RIEZ (GUERRIERS)
Les premiers Européens étaient cannibales!
HISTOIRE | Des restes fossilisés attribués aux «premiers européens» découverts sur le gisement d'Atapuerca en Espagne ont révélé que ces hommes préhistoriques semblaient apprécier la chair d'enfants et adolescents.
Les archéologues Juan Luis Arsuaga, Eudal Carbonel et Jose Maria Bermudez de Castro vont de surprise en surprise sur le site d'Atapuerca.
«Nous savons qu'ils pratiquaient le cannibalisme», affirme José Maria Bermudez de Castro, l'un des co-directeurs du projet Atapuerca, l'un des gisements les plus importants d'Europe, inscrit en 2000 au Patrimoine mondial de l'Unesco. «C'est le premier cas de cannibalisme bien documenté de l'histoire de l'humanité, ce qui ne veut pas dire que c'est le plus ancien», souligne-t-il.
L'étude des restes a aussi révélé qu'ils se livraient à l'anthropophagie pour s'alimenter et non par rituel. Ils mangeaient leurs rivaux après les avoir tués, principalement leurs enfants et adolescents.
«Des restes découverts sur le gisement dit de Gran dolina sont apparus éparpillés, cassés, fragmentés, mélangés à des restes d'autres animaux comme des chevaux, des cerfs, des rhinocéros, tout type d'animaux produits de la chasse et consommés par l'être humain», selon M. de Castro.
Gastronomique
«Ces fossiles avaient aussi comme les animaux des marques de couteaux en pierre, de dépeçage, réunissant tous les éléments caractéristiques d'une accumulation d'os utilisés par les êtres humains», a-t-il expliqué. «Ceci nous donne une idée de cannibalisme de type gastronomique, et non rituel, car ils n'avaient pas la capacité symbolique qu'a l'être humain d'aujourd'hui», ajoute-t-il.
Les restes fossilisés, trouvés à partir de 1994 à Gran dolina, correspondent probablement aux premiers êtres humains qui se sont développés en Europe. Ils ont été baptisés «Homo antecessor».
Ce dernier a vécu avant l'homme de Néandertal et de l'Homo sapiens. Il s'est installé il y a environ 800 000 ans dans les grottes d'Atapuerca probablement après une longue migration depuis l'Afrique et via le Proche-orient, le nord de l'Italie puis la France.
Abondance
Il n'a pas choisi par hasard cette zone de 13 km2. Elle se trouve à un endroit «privilégié» du nord de la péninsule ibérique, à la confluence de deux rivières, avec un climat agréable et riche en faune et en flore, selon M. de Castro.
Il y bénéficiait d'eau et de nourriture en abondance, pouvait chasser des sangliers, des chevaux, des cerfs, «ce qui veut dire qu'ils ne pratiquaient pas le cannibalisme par besoin d'aliments». «Ils tuaient leurs rivaux et profitaient de la viande», explique M. de Castro, après l'analyse des restes de onze victimes apparentes.
«Nous avons par ailleurs découvert deux niveaux comportant des restes cannibalisés. Cela veut dire qu'il ne s'agit pas d'un cannibalisme ponctuel, mais continu dans le temps», selon cet archéologue parmi les plus réputés d'Espagne.
Des enfants à la casserole
«Un autre aspect intéressant, mais que nous n'expliquons pas encore très bien est que la majorité des onze individus identifiés» comme victimes «sont des enfants ou adolescents». «Nous pensons qu'il y a aussi deux jeunes adultes dont une femme, ce qui signifie qu'ils tuaient la base de la pyramide démographique du groupe», souligne ce chercheur.
Atapuerca, situé aux confins de l'Eurasie, a permis à l'Homo antecessor de développer «un patrimoine génétique isolé», avec des traits caractéristiques, à la fois archaïques et modernes. En plus de la chasse, il pratiquait la cueillette, fabriquait des outils.
Le paysage était alors caractérisé par des zones de forêt, de chênes, de châtaigniers, de genévriers, avec des prairies. Elles accueillaient accueillant notamment des ours, des lynx, des panthères, des renards et des hyènes.
=======================
site en développements
cliquez ici-bas pour accéder à mes centaines de BLOGS
Voici mon e-mail
Cliquez ici pour voir ce site prouvant que les enfants cancéreux ne meurent pas de leucémies mais des traitements-maltraitements médicaux.... LEUCÉMIES INFANTILES CRÉÉES PAR LONDRES via ses AN...
Un bébé-médicament, ou bébé du double espoir1 est un enfant conçu en deuxième couche dans le but de sauver un frère ou une sœur aîné(e) souffrant d’une maladie grave. La conception est assistée d’une sélection d’un embryon sain et génétiquement compatible avec son aîné atteint d’une maladie grave, afin, par exemple, de permettre, après sa naissance, une greffe de sang du cordon ombilical ou de moelle osseuse ultérieurement.
D A N G E R S
NE CROYEZ PAS EN CES MÉDECINS EUGÉNISTES
Nous ne sommes pas dupes, nous savons bien que les classes bourgeoises le font depuis longtemps; qu'elles peuvent aller jusqu'à faire naitre un bébé-à-greffer pour remplacer certains organes de leurs enfants amputés ou pour les parents eux-mêmes tient qu'à y être...... Mais jamais cela ne sera pour les pauvres.....
BÉBÉS servant de greffons d'organes.... BÉBÉS-GREFFONS, c'est ce quie ces médecins font en cachette
Le but du clonage humain est de créer un double d'une personne riche et célèbre comme la reine d'Angleterre par exemple, et lui faire un bébé ayant les mêmes caractéristiques qu'elle, ce qui fait que si elle a besoin d'un bras ou d'un œil: la reine pourrait se le faire greffer....... Et qui vous dit qu'ils ne le font pas déjà en cachette: c'est ce qui expliquerait pourquoi les gens de cette royauté de consanguins vivent aussi longtemps...
Les riches aujourd'hui vont se faire greffer des reins de chinois. Ca, c'est de l'exploitation internationale en pleine "logique systémienne", comme tu le dis. Les malades occidentaux pauvres meurent, et les pauvres des pays en voie de développement se font prélever des organes dans des mesures douteuses pour satisfaire la demande d'occidentaux riches.
Il y a longtemps que les riches bénéficient de l'intervention (à l'étranger).
L'avortement, qui est non seulement un tripatouillage peu ragoutant du corps plus la destruction d'une vie en devenir. Des femmes vont se faire avorter en Espagne où l’IVG est légal jusqu’à 8 mois de grossesse. Il s’agit ni plus ni moins que d’infanticide, la pratique consiste à injecter en plein cœur du bébé, pardon « fœtus » bel euphémisme, un produit létal ! Faut-il permettre l’avortement à 8 mois de grossesse sur notre sol pour autant ? Rechercher le mimétisme avec les pays du tiers monde ne peut que niveler notre pays vers le bas. Pourquoi autoriser de tuer des fœtus alors que cette Médecine prétend à la fois tenter de sauver des vies?
Le marché noir des organes In America
Il existe une industrie en plein essor aux États-Unis dans certaines parties du corps. Les parties du corps des enfants avortés apporter d'énormes sommes à l'avortement. En 2000 NewsMax.com a publié un article intitulé "Body Parts For Sale." L'article contenait les propositions de prix suivant d'un manuel de ventes réelles pour les pièces de corps d'un bébé: la peau de 100 $; membres 150 $ chacun, les oreilles de 75 $ la paire; yeux 75 $; osseuse moelle 250 $; moelle épinière 325 $, 999 $ et le cerveau. Un corps d'adulte vaut encore plus. Un corps d'adulte peut se vendre pour plus de 200.000 $ et avec les organes de tact ça peut valoir beaucoup plus.Une mère propose son rein pour nourrir ses enfants
C’est une maman qui pleure ses neuf enfants et son époux. Elle s’appelle Aghmourassel Nadjia, âgée à peine de 35 ans. Depuis six ans, cette courageuse femme et sa famille résident sous un toit de fortune à Bourouba.
Il y a une corrélation directe entre niveau de richesse, obésité et maladies
J’ai vendu ma fille pour nourrir le reste de ma famille.
« L'argument du consentement ne peut tout absoudre ni tout permettre »
Si on excepte le cas particulier du sacrifice (y compris pour cause médicale) et le don des fluides (renouvelables), un individu réellement libre ne peut concevoir de son vivant de réduire volontairement la capacité fonctionnelle de son corps, puisqu’il sait que l’intégrité de son corps est essentielle pour pouvoir exercer pleinement sa liberté. Il sait que la valeur de son corps considéré dans son ensemble est infiniment supérieure à la valeur de chaque organe pris séparément.La question de la liberté du commerce des organes du point de vue du donneur vivant est un faux problème. Il peut y avoir une demande sur ce marché, mais jamais d’offre réellement libre : de ce qui précède, toute clause contractuelle en ce domaine est léonine. On notera d’ailleurs que cette question apparaît systématiquement dans des circonstances où l’environnement politique (donc économique) supprime ou réduit la liberté individuelle et la dignité humaine.
.
================================
Annexe
Jamais la leucémie n'a tué personne sauf la médecine et son arsenal de chimio-militaire de guerre.
La Mondialisation s'en prend à nos enfants, les traite-maltraite, les tue et remet la faute sur nous en utilisant ses spécialistes médicaux pour venir accuser comme toujours la Société et jamais les États ..... lisez la suite et vous comprendrez tout.
Ces braves petits enfants victimes du Contrôle Démographique Mondial effectué par les Experts-pions de Londres.
Méfiez-vous des remèdes qui sont nés de l'Industrie de la guerre et pour faire la guerre aux populations civiles.
Un poison est toujours un poison même en infime quantitié (homéopathie).
ATTENTION : VOUS POUVEZ BOUSILLER COMPLÈTEMENT VOTRE SYSTÈME IMMUNITAIRE À PRENDRE DES ANTIBIOTIQUES
Il fallait auparavant se protéger des maladies, il faut désormais se protéger aussi des médicaments, y compris de certains dont on a une image très positive : les antibiotiques.
Désinformation massive . . . VACCINS comme CONTRÔLE DÉMOGRAPHIQUE
et qui sortent des labos militaires
Les médicaments peuvent tuer, ce que l'on nous cache soigneusement.
Les médicaments sont responsables d’au moins 18’000 décès par an, en France, c’est-à-dire deux fois plus que les accidents de la route, sans compter les 150 000 hospitalisations dues à leurs effets iatrogènes.
Mort d'une leucémie à 7 ans : ses parents s'interrogent. Pourquoi nous avait-on précisé qu'il n'était pas mort de sa leucémie ? Alors, de quoi est-il mort ? Le médecin nous a même culpabilisés pour se protéger.... Les parents veulent récupérer ce consentement éclairé que l'hôpital leur a fait signer ainsi que la copie de l'ensemble des protocoles thérapeutiques, puisque l'enfant a été inclus dans un essai », explique l'avocat.
Autres cas de fausse leucémie mais qui tuera peut-être cet enfant à coups de chimios
Ma cousine (qui vit en Alsace), vient de m'apprendre que sa fille âgée de 3 ans est atteinte de leucemie aïgue et que les examens ont "révélés" que sa rate serait touchée.... elle est à l'hopital pendant 1 mois pour lui faire de la chimio...
TOUS LES ANTIBIOTIQUES ABOUTISSENT À LA FORMATION DE CELLULES CANCÉREUSES (non seulement ils détruisent notre système immunitaire.....).
Les antibiotiques ont une réputation qui dépasse l’effet bénéfique que l’ont attend d’eux.
. Les progrès de l’hygiène et de meilleures conditions de vie et d’alimentation ont fait reculer un grand nombre de maladies permettant ainsi aux enfants comme aux adultes de développer des défenses naturelles bien meilleures.
LEUCÉMIES INFANTILES
ET ANTIBIOTIQUES
Prise de médicaments désagrégateurs de cellules. Les antibiotiques créent des douleurs articulaires, ils désagrégent les globules rouges et les plaquettes. Du coup, la diminution du nombre des globules rouge et des plaquettes va engendrer une anémie (et donc de la pâleur).
Un autre effet de ces médicaments (reconnu officiellement celui-ci) est d’esquinter le foie. ET SI ON FAIT UN TEST SANGUIN AU MOMENT DE PRISES D'ANTIBIOTIQUES, IL SERA LEURRÉ et on y verra alors du coup une très grande quantité de lymphocytes, on va avoir l’impression que la quantité de lymphocyte a explosé. On va avoir d’autant plus de globules blancs que la médecine officielle estime que lors d’une leucémie, il y a, en plus des globules blancs normaux. onc, le médecin va avoir une forte probabilité de commencer à penser à un diagnostic de leucémie. ERREUR DRAMATIQUE POUR NOS PAUVRES ENFANTS matraqués par les antibiotiques.
LA MAJORITÉ DES ENFANTS NE MEURENT PAS DE LA LEUCÉMIE MAIS DE SES TRAITEMENTS.
Il y a succession de cycles de ce genre : épisode de maladie, accompagné de prise d’antibiotiques ou d’anti-inflammatoires, rémission des symptômes consécutive à la prise d’antibiotique ... arrêt des maux puis puis reprise des maux lors de l’arrêt de l’antibiotique... ce qui s’accompagne à nouveau d’une prise d’antibiotique, etc… En bas âge, les jeunes ont souvent des problèmes ORL qui sont soignés par antibiotiques et donc, qui récidivent, et qui sont à nouveau soignés par antibiotiques, etc… Ceci, en générale par des parents qui pensent obtenir un maximum de sécurité en donnant des antibiotiques à leur enfant ou par des médecins qui donnent des antibiotiques pour un oui ou pour un non.
Après 3 ou 4 cycles de ce genre, les parents peuvent s’affoler et aller voir un médecin qui, s’il est du genre excité, va éventuellement faire un prè-diagnostic de leucémie. Le 1/3 des cancers infantiles sont des leucémies (reliées aux antibiotiques et aux 17 vaccinations que les enfants ont reçu avant d'entrer à l'École.
Et comme l’antibiotique ou autres médicaments désagrégateurs de cellules attaqueraient la moelle osseuse. Du coup, il y aurait comme un phénomène de rattrapage à l’arrêt de la prise d’antibiotique. La moelle osseuse, ayant été agressée, se mettrait à produire beaucoup plus de globules blancs.
Les antibiotiques désagrégent les parois des petits vaisseaux sanguins.
ET COMME LA LEUCÉMIE EST CONSIDÉRÉE COMME MORTELLE POUR LA MÉDECINE ALLOPATHIQUE (QUI SOIGNE PAR DES DROGUES), alors les médecins vont déclencler le plan Orsec immédiatement.
Les antibiotiques vont avoir une grosse tendance à entraîner ce genre cycle: c'est-à-dire que les enfants auront des bronchites puis on leur fera prendre des antibiotiques, et ce cycle ''YOYO'' recommencera jusqu'au jour ou on lui fera passer un test de cancer..... Erreurs et HORREURS vont continuer de s'ensuivre.
En effet, en plus de désagréger les cellules et les débris, ça va diminuer la fièvre. Donc, la personne se sentant mieux va avoir l’impression que sa maladie est terminée, alors qu’en fait, les particules sont toujours en suspension et vont redéclencher de la fièvre dès l’arrêt de l’antibiotique. Ce sont plutôt les antibiotiques qui vont mener à ce genre de yoyo, parce qu’ils sont utilisés, à tort, pour lutter contre les rhumes, les grippes, et autres problèmes ORL de ce genre (bronchites, etc…)...
Et dans les pays dans lesquels le paludisme est sensé être endémique, on va très rarement faire un diagnostic de leucémie, par manque de moyens de détection. Heureusement pour eux.
On voit de temps à autre à la télé des gens comme ça, qui disent que tel premier médecin consulté (MÉDECIN moins surexcité) n’avait rien trouvé de grave, et qu’heureusement qu’ils ont trouvé le médecin qui a fait le diagnostic de leucémie, sinon, leur fils ou leur fille y passait.
Les antibiotiques ne sont pas sans danger, particulièrement s'ils sont administrés aux enfants avant l'âge de 1 an.
Des travaux menés par des chercheurs de l'Université McGill montrent que les bébés auxquels on donne des antibiotiques avant cet âge courent un risque nettement plus élevé de souffrir d'asthme, par comparaison avec les bébés n'ayant pas pris d'antibiotiques.
2,7 millions d'adultes et d'enfants
(4 ans et plus) souffrent d'asthme au pays.
En fait, le risque de développer l'asthme double chez ceux: ayant reçu des antibiotiques pour des infections autres que respiratoires; ayant reçu plusieurs séries d'antibiotiques; dont la famille n'a pas eu de chien avant leur premier anniversaire. . . Une équipe de l'Université du Manitoba a également participé à l'étude, menée à partir de l'analyse des dossiers de plus de 13 000 enfants, de la naissance à l'âge de 7 ans. Les travaux sont publiés dans la revue Chest.
Autre exemple
La personne qui a pris des anti-inflammatoire après l’opération, lorsqu’elle aura son épisode de fièvre, prendra probablement des antibiotiques. Et ce n’est qu’après cette prise d’antibiotiques, ou même après un deuxième cycle “arrêt des antibiotiques-fièvre-prise d’antibiotique”, qu’on lui diagnostiquera la leucémie.
Laisser votre corps combattre naturellement par lui-même. N'obligez pas votre corps à combattre, et vos infections, et vos médicaments qui l'empoisonnent et ralentiront votre nettoyage naturel.
LA LEUCÉMIE EST UN PHÉNOMÈNE NATUREL
NON DANGEREUX POUR LA SANTÉ.....
SAUF SI ELLE EST TRAITÉE ...
Donc, en réalité, on est face à un phénomène naturel qui n’est pas du tout dangereux pour la santé. Et évidemment, avec l’élimination qui se fait à nouveau normalement, la quantité de leucocytes estimée par le test (en réalité la quantité de particules ayant la taille des leucocytes), va diminuer progressivement au fur et à mesure que le temps avance. Disons un mois plus tard, la quantité aura déjà bien diminué, et trois mois plus tard, il n’y paraîtra plus.
LES ANTIBIOTIQUES N'ONT JAMAIS SAUVÉ PERSONNE: ILS EN ONT PLUTÔT TUÉ DES MILLIONS: mais qui oseraient le dire et dénoncer ce Contrôle Démographique Mondial effectué par l'OMS et qui augmente sciemment LE TAUX DE MORTALITÉ ''légalement'' avec ses médicaments-tueurs tout mais en venant accuser que le patient en le disant intolérant aux médicaments ou autres......Environ 40 à 50 % des enfants atteints de leucémie aiguë myéloïde (LAM) en meurent ...
Les français consomment trop d'antibiotiques. La menace? Que ces traitements voient leur efficacité anéantie dans le cas d'une infection bactérienne grave. Angines, bronchites, rhinopharyngites, sinusites, otites... "Neuf fois sur dix, ces infections sont d'origine virale et ne requièrent donc pas d'antibiotiques, inefficaces contre les virus," rappelle la campagne d'information de la Caisse nationale d'assurance maladie.
L'explosion du nombre de tendinopathies et d'arthroses est liée aux médicaments combinés au FLUOR.
L'engouement pour ces puissants médicaments chimiothérapeutiques tout-terrains,[b] complètement artificiels : leur prix élevé assure de confortables rentes aux laboratoires (britanniques) qui encouragent leur distribution par l'intermédiaire de leurs 20000 visiteurs médicaux, et l'Assurance Maladie pense faire des économies -traitements courts, efficacité satisfaisante- en réduisant les jours d'arrêt de travail. En théorie, tout va donc très bien. Comme tout allait bien jusqu'en 2004 pour l’antibiotique Vioxx®, qui aurait selon les études provoqué entre 28000 et 140000 morts rien qu'aux Etats-Unis. En mars 2006 et cette fois en France, le Comité Economique des Produits de Santé a tiré la sonnette d'alarme, estimant que ces médicaments sont surprescrits, et reconnaissant que les visiteurs médicaux informent mal les médecins de leurs effets secondaires.
En mai 2006, un article du Washington Post nous apprenait que Pfizer, leader mondial de l’industrie pharmaceutique (mise en place par Londres), aurait pratiqué en 1996 une expérience sauvage sur 200 enfants et nourrissons nigérians afin de tester une fluoroquinolone, le Trovan®, qui sera mise sur le marché en Europe en 1997 avant d'être interdite en 1999 en raison de ses graves effets secondaires. Des enfants décéderont, d'autres garderont des séquelles irréversibles. Le Trovan® devait rapporter des milliards de dollars. 30 familles nigérianes ont mis Pfizer en procès à New-York, pour traitements inhumains, cruels et dégradants. Autre fluoroquinolone du même fabricant, le Logiflox® a fait des victimes graves en France. Deux jeunes filles atteintes à 23 et 28 ans s'apprêtent à mettre Pfizer en procès en France.
Les effets graves des quinolones commencent à apparaître parfois un an et demi après la prise, et les systèmes de pharmacovigilance ne sont pas adaptés à la remontée d'événements indésirables apparaissant à moyen ou long terme. On sait que les quinolones peuvent rester des mois dans certains tissus, et possiblement des années.
Dans ces conditions, la plupart des victimes ne font pas le lien entre des douleurs tendineuses, une arthrose précoce ou des problèmes cutanés graves et la prise d'un antibiotique dont elles ont déjà oublié le nom. D'autant plus que l'on sait que des destructions cellulaires graves peuvent passer complètement inaperçues, notamment au niveau des tendons. Il suffit de voir leur très faible taux d'utilisation dans certains pays d'Europe à forte tradition sanitaire et où la population se porte très bien.On a pourtant à ce jour déjà attribué aux fluoroquinolones environ un millier d'effets secondaires, un vrai catalogue de maladies.
Il est par exemple désormais établi que plusieurs de ces substances sont cancérigènes.
En 1998, l'organisme gouvernemental américain OEHHA -cité comme référence par la Direction Générale de la Santé et le Comité d'Hygiène Français- classait en juillet le père de toutes les quinolones, l'acide nalidixique, découvert en 1962 et encore largement distribué en France récemment, comme produit cancérigène. En 2002, la dose maximale tolérable, estimée pour une exposition sur 70 ans et pour que cela provoque un cancer sur une personne sur 100'000, fut fixée à 716 mg. Les doses journalières sont de 1000 à 2000 mg/jour lors d'un traitement au Negram® ou Negram Forte.L'un des effets les plus spectaculaires de ces antibiotiques est l'atteinte des tendons d'Achille, présentée positivement comme un tendinite la plupart du temps. Il s'agit en fait essentiellement de nécroses des tissus tendineux, correspondant donc à des morts cellulaires massives.
Un autre effet grave, moins connu, est la dissolution chimique des cartilages, allant jusqu'à provoquer une arthrose parfois évoluée en quelques jours ou semaines seulement.
ET VOILÀ LES DÉGATS CAUSÉS PAR LE FLUOR combiné à d'autres substances.....
Parmi l'interminable liste des effets graves connus, parfois irréversibles, citons les séquelles
rénales, hépatiques, cardio-vasculaires, neurologiques, cérébrales, baisse des sens dont la vue, destruction du collagène, altérations de la peau, etc. témoigne un médecin qui connaît les effets de ces antibiotiques, qui peuvent ronger le corps de l'intérieur jusqu'à une véritable décomposition des tissus.
Un seul cachet suffit à détruire une vie. Une seule prise suffit à nécroser les tendons ou attaquer les cartilages. Il n'existe de plus aucun moyen de prévoir une « intolérance » aux
quinolones. Des gens jeunes, en parfaite santé, sans aucune prédisposition en ont été victimes.
Quant à la crainte de surinfection bactérienne, "aucune étude ne démontre que la prise d'antibiotiques réduit la durée des signes cliniques d'une infection virale ou prévient les complications. Cela crée, au contraire, des résistances plus fréquentes et plus complètes des germes aux antibiotiques," assure Annick Bosseray, médecin infectiologue au CHU de Grenoble.
" Les antibiotiques sont indiqués dans les infections bactériennes graves - salmonelles, septicémies, infections urinaires, pneumonies, méningites..."RECORDS DE CONSOMMATION D'ANTIBIOTIQUE
Lapins et autres animaux élevés pour la viande et qu'on bourre d'antibiotiques Londres s'est rendu compte que les antibiotiques augmentait le poids des animaux....
La contamination des eaux par les antibiotiques issus des fermes ...
Il est à noter que plus de 70% des antibiotiques utilisés en Amérique du Nord sont dédiés aux fermes industrielles et qu’ils servent comme facteur de croissance chez les animaux. Les antibiotiques sont ensuite excrétés naturellement par les bêtes et se retrouvent dans le purin. Enfin, ce dernier est épandu dans les champs partout au Québec (même dans les régions où il n’y a pas d’élevage de porc). Suite à l’épandage, ces contaminants sont absorbés dans les sols pour atteindre les eaux souterraines. Le maîs qui sert à nourrir les porcs : une autre source de contamination de l’eau L’un des effets néfastes des porcheries industrielles est la nécessité de cultiver le maïsgrain (OGM pour la plupart, dont la sécurité alimentaire n’a pas été prouvée) en grande quantité. Cette production, déficitaire au Canada depuis 10 ans, demande l’application de grandes quantités d’herbicides et de pesticides. Compte tenu que le maïs GM résiste aux herbicides, les producteurs agricoles en pulvérisent de grande quantité, sans danger d’abîmer la récolte. Depuis l’apparition des OGM, les ventes d’herbicides ont considérablement augmenté. Au Québec, la majorité des cours d’eau et des nappes phréatiques situés en milieu agricole sont contaminés à des niveaux variables par des résidus d’herbicides et de pesticides ou des dérivés de fumier. Tout comme les antibiotiques, ces produits chimiques demeurent dans nos sources d’eau et se retrouvent dans l’eau que nous buvons à la maison.
LES FRUITS ET LÉGUMES CRUS SONT ANTI-BACTÉRIENS et protègent notre flore bactérienne..... Ce qui est le contraire des médicaments dont la pénicilline entre autres.
Les Fruits et les Légumes ont des effets antibactériens et qui ne sont que bénéfiques (les plaies infectées afin de prévenir la gangrène).
Et moi qui en suis allergique comme tant d'autres, je peux vous en parler..... j'ai failli en mourir aussi.
Et bien, cette toxine qui provient de la moisissure penicillium et qu'on dit ''inoffensive'' pour l'homme, au contraire, elle est des plus dangereuses.
NOS ABERRATIONS
Comment ont-ils pu encore autant nous mentir et nous faire croire qu'un poison qui détruit notre flore bactérienne incluant toutes formes de vie (mauvais comme bons microbes) puisse nous aider de quelconque nature que ce ne soit ?
Les pénicillines A sont des aminopénicilline à spectre élargi. L'ampicilline et surtout l'amoxicilline
sont ses deux principaux représentants on se souviendra de la bacampicilline qui était un ester d'ampicilline.
La phénoxyméthylpenicilline (pénicilline V). La pénicilline V est la forme orale de la pénicilline. Sa seule différence par rapport à la pénicilline G est la voie d'administration. Elle se fixe sur les PLP1 (protéines de liaisons aux pénicillines).
La pénicilline benzathine. La benzatine benzylpénicilline sert exclusivement contre le Treponema pallidum, la bactérie de la syphilis. Son élimination est urinaire. Som commercial : Oracilline
--- La cloxacilline intraveineuse a malheureusement le défaut d'être très irritante pour les veines, entraînant souvent des thromboses veineuses (phlébite) au site d'injection ; de plus, sa demi-vie courte oblige à l'administrer toutes les 4 heures. On lui préfère donc, souvent, une céphalosporine, plus facile d'emploi.
--- La pénicilline tue les cochons d'Inde
--- La pénicilline POUR AVORTER
--- Les Antibiotiques détruisent les cellules rénales et épithéliales
--- Les dangers hémorragiques de certains antibiotiques . . .
---
Une hémorragie cérébrale va complètement esquinter la zone du cerveau touchée. Et la destruction, même partielle du cerveau, signifie souvent carrément la mort. Les hémorragies cérébrales provoquent 42.000 morts pour 150.000 cas par an. Donc environ 30 % des cas.
"Chloramphenicol, l'antibiotique tueur".
Le Chloramphenicol produit des effets secondaires très graves. En Europe et aux USA l'utilisation du Chloramphenicol pour les enfants a été retiré de la circulation en 1970. Les effets secondaires tels que l'aplasie passagère de la moelle osseuse, l'aplasie irréversible de la moelle osseuse, ou encore l'anémie isolée sont connus. Nous avons vu perdre leur sang et mourir des centaines d'enfants à Kantha Bopha des suites de cette complication médicale survenue dans des cliniques extérieures : il n'existe pas de traitement contre cette complication. Donc, on a des centaines d'enfants qui sont morts d'hémorragies à cause de ce médicament. Ca confirme donc bien les dangers hémorragiques de certains antibiotiques..
Chlorampenicol: Antibiotique. A causé des désordres sanguins ayant entraîné la mort chez l’être humain mais pas chez les animaux de laboratoire.
Les résidus d'antibiotiques dans le lait standard ont ... 60% des vaches productrices de lait aux Etat-Unis ont le virus de la leucémie. Si on tient compte du fait que les protéines bovines créent une réaction dans l’organisme (celui-ci fabrique des anticorps détruisant les cellules bêta qui produisent de l’insuline), pensez-vous qu’il est sage de boire des sécrétions contenant des hormones issues d’une créature d’une autre espèce ? Comme vous le savez peut-être, les Scandinaves sont parmi les plus grands buveurs de lait sur la planète et c’est chez eux que l’on trouve certains taux les plus élevés de diabète et d’ostéoporose. Pour que l’on puisse boire du lait sans risque il doit provenir d’animaux propres et sans maladie. Malheureusement, la majeure partie du lait américain contient les virus de la leucémie, de la tuberculose et selon Virgil Hulse, médecin, le virus immunodéficitaire bovin.
Lorsque nous buvons du lait, nous consommons la plus puissante des hormones de croissance produites naturellement dans notre corps. Cette hormone s’appelle le IGF-1 (Insulin-like Growth Factor-1 ou Facteur de Croissance de type Insuline-1). Cette hormone est identique chez les vaches et chez les humains. Les effets secondaires effrayants de la consommation de lait ne sont pas limités aux enfants. 25 millions de femmes Américaines de plus de 40 ans ont été diagnostiquées comme souffrant d’arthrose et d’ostéoporose.
Le seul lait qui convienne à l’enfant est celui de sa mère, car il correspond à son hérédité, son sexe, sa physiologie.
Voici le témoignage d'Amélie....
''Bonjour à tous,
Je m'aperçois que certaines personnes sont au prise avec mon problème mais j'aimerais discuter plus amplement avec vous qui avez ce même problème, soit la peur de tuer les gens, surtout ceux qui vous sont les plus chers. Vous êtes bien sûr une personne super calme, qui ne veut jamais faire de mal à personne, qui veut toujours être aimé partout où elle va et qui a un grand coeur, tout comme moi. Par contre, depuis que vous prenez un type de médicaments, il y a dans votre tête une fatigante voix qui vous dit: je vais te tuer...maman,,, par exemple. Je viens d'abandonner des antibiotiques qui me rendaient complètement cinglée. ''Allergie'' me dit mon médecin.... J'ai pensée que c'était comme ça que les tueurs avaient commnecé à devenir fous...''
Dans les cas de démences, d'intolérances face aux situations et aux autres (pourtant qu'on aime): il nous tarde de faire les liens entre LA MÉDICATION et la folie temporaire.
Le taux de récidive pour la leucémie myéloïde aigue est entre 60 et 90 %. Et les premiers symptômes de type rhumes ou bronchite a répétition, les médecins effectueront des test de leucémie.
Et lorsqu'il y a un vrai cancer, et si le traitement de la leucémie réussit c'est parce que c’est un jeûne forcé.
L'utilisation d'un antibiotique prescrit incorrectement ne guérit pas l'infection, mais peut accroître la résistance aux antibiotiques des bactéries
Si certains médecins ou services hospitaliers commencent à limiter voire proscrire ces médicaments qu'ils estiment trop dangereux, d'autres, inconscients du danger, mal informés ou désireux de minimiser la durée des arrêts de travail n'hésitent pas à les employer à tour de bras.
Enfin bref, la leucémie, c’est vraiment l’arnaque totale. Autant, pour les autres cancers, il y a un danger éventuel que la tumeur devienne trop grosse dans ou à proximité d’un organe vital et provoque le dysfonctionnement de cet organe, autant là, c’est du pur n’importe quoi.
SOLUTIONS
Si vous avez un problème de santé que vous croyez que des médicaments pourraient remédier: alors c'est que les FRUITS et les LÉGUMES feraient mieux l'affaire, mais il n'en va pas dans l'intérêt des médecins de vous conseiller cela puisque la médecine détient son expertise et son pouvoir que par ses médications et non par la prévention et de bons conseils alimentaires.
L'huile de pépins de pamplemousse, un puissant antibiotique naturel
Origan : L'antibiotique et l'antiseptique de la nature .... une herbe antivirale qui ne tue pas les cellules humaines comme les antibiotiques. ... l'huile de l'origan pour les gorges endolories de leurs enfants. ... Bon nombre d'entre nous arrosent l'origan sur notre pizza et ragoûts sans réaliser ses puissances curatives impressionnantes. Mais l'origan est beaucoup plus qu'une herbe savoureuse. Il contient une activité trois à 20 fois plus antioxydante que les autres herbes ou fruit, et le contenu riche minéral de l'origan remplace cela du lait, du fromage ou des légumes verts en calcium, magnésium et potassium. Pourtant son utilisation plus remarquable est d'éliminer sans risque des infections respiratoires supérieures comprenant la bronchite, la sinusite, les gorges endolories et d'autres maux bactériens et viraux. . . L'origan est un antibactérien non-toxique et une herbe antivirale qui ne tue pas les cellules humaines comme les antibiotiques. Il renforce également le système immunitaire. Le livre de Dr. Cass Ingram's que le traitement est dans le compartiment dévoile les utilisations pratiques multiples de l'origan, y compris sa capacité de tuer sans risque chaque germe contre lequel elle a été examinée et neuf microbes pathogènes, y compris des salmonelles, E. coli, listeria, streptocoque, pseudomonas et moules.
==================
Le serment d'Hypocrate
Je jure par Apollon, médecin, par Esculade, par Hygie et Panacée, par tous les dieux et toutes les déesses, les prenant à témoin que je remplirai, suivant mes forces et ma capacité, le serment et l'engagement suivants:je mettrai mon maître de médecine au même rang que les auteurs de mes jours,je partagerai avec lui mon savoir, et, le cas échéant, je pourvoirai à ses besoins; je tiendrai ses enfants pour des frères, et, s'ils désirent apprendre la médecine, je la leur enseignerai sans salaire ni engagement.
Je ferai part des préceptes, des leçons orales et du reste de l'enseignement à mes fils, à ceux de mon maître, et aux disciples liés par un engagement et un serment suivant la loi médicale, mais à nul autre.
Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m'abstiendrai de tout mal et de toute injustice.
Je ne remettrai à personne du poison, si on m'en demande, ni ne prendrai l'initiative d'une pareille suggestion; semblablement, je ne remettrai à aucune femme un pessaire abortif.
Je passerai ma vie et j'exercerai mon art dans l'innocence et la pureté.
Je ne pratiquerai pas l'opération de la taille, je la laisserai aux gens qui s'en occupent.
Dans quelque maison que j'entre, j'y entrerai pour l'utilité des malades, me préservant de tout méfait volontaire et corrupteur et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves.
Quoi que je vois ou entende en société pendant l'exercice ou même hors de l'exercice de ma profession, je tairai ce qui n'a pas besoin d'être divulgué, regardant la discrétion comme un devoir en pareil cas.
Si je remplis ce serment sans l'enfreindre, qu'il me soit donné de jouir heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les hommes; si je le viole et que je me parjure, puissé-je avoir un sort contraire!
======================
Utilisez ces gifs animés dans vos projets et vos sites, je vous les offre.
*** Pour vous copier ces GIFS ANIMÉS:
sélectionnez l'image (elle devrait se noircir un peu) et puis faites CTRL + C afin de copier cette image dans le presse papier virtuel ensuite allez dans votre document (word, powerpoint ou dans votre Blog ou dans votre E-MAIL et cliquez-y sur ''répondre'' et pointez votre curseur dans l'espace pour répondre, et faites CTRL + V... puis postez-vous-le à votre adresse e-mail ou envoyez-le à vos ami(e)s.
.... blog en amélioration.... à suivre ....
QUELQUES UNS DE MES BLOGS…
cliquez ici-bas pour accéder à mes centaines de BLOGS
Humanité reine
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire